début de ce blog - 24 décembre 2008

Le divin rencontre l'humain, le céleste fait du terrestre son nid,
l'essentiel allume ses lumières aux fenêtres de l'existentiel… Une histoire de naissance !

lundi 16 février 2009

La bande des 3

Quand l’un entre en scène, les deux autres ne sont pas loin. Quand vous assistez au dialogue de deux d’entre eux, le troisième y participe en silence. Quand vous acceptez de leur ouvrir votre porte, mettez trois couverts car ils sont inséparables ! De qui s’agit-il ? Des trois protagonistes du « triangle dramatique »…

prévoyez trois places !

Vous aimez qu’il y ait du relief dans votre existence, vous détestez la morne platitude d’une vie sans émotion, vous cherchez à rendre votre vécu important et impressionnant ? Alors faites un simple pas, et entrez dans le triangle. Ses trois pointes sont comme trois électrodes, qui vont mettre le « courant » à vos circuits relationnels. Tout va se mettre en marche, et tant que chacun garde sagement son rôle, le moteur tourne. Un moteur parfois bruyant, et toujours polluant. Et puis gare aux changements de polarité inopinés : prévoyez le disjoncteur, car il arrive qu’il y ait de la surtension, et alors bonjour les étincelles !

De quoi nous parle-t-il aujourd’hui ? Je vous entretiens de ce que tous les auteurs de romans, scénarii et pièces de théâtre ont appris dans leurs écoles : la Victime, le Bourreau, et le Sauveur. Si vous choisissez d’enfiler l’un de ces rôles, sachez que vous vous retrouverez tôt ou tard dans la peau des deux autres ; c’est irrésistible. Pour que votre vie ressemble à une de ces superproductions, vous avez maintenant la recette.

2 commentaires:

da costa a dit…

Au secours Christian, je flippe, je ne vais plus oser bouger de peur de m'asseoir dans un des trois fauteuils. Alors on fait quoi, on reste debout en attendant la suite de l'histoire ?

Christian a dit…

Voyons Anne, n'y a-t-il dans notre vie aucune autre solution que d'être la Victime, le Bourreau, ou le Sauveur ?
Allons jouer à d'autres jeux, bien plus agréables, et laissons celui-ci aux comi-tragédiens de l'existence !
Tu viens ?